Je suis devenu une femme de ménage soumise

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il y a 4 ans

J’aime la lingerie féminine et en porter. Lorsque je me féminise, je me sens un peu femme, un peu soumise. Toutes les femmes ne sont pas soumises, non, ce que je veux dire c’est que lorsque je me travestis, j’ai l’impression de perdre ma masculinité.

Je fantasme parfois à l’idée de rencontrer une Maîtresse adepte de la sissification, de devenir une sissy au service d’une femme dominatrice m’imposant d’être à son service pour toutes ses tâches ménagères. Sans y être totalement opposé, je ne cherche pas de sexe, une simple relation amicale complaisante me comblerait. Il est évident que si j’avais la chance de rencontrer une femme aimant dominer et féminiser son compagnon, je ne serai pas opposé à l’idée de me marier mais là, ce n’est à mon avis qu’un rêve irréalisable.

Voilà, chère Anne le fond de ma pensée. Vous m’avez demandé hier sur fessestivites de vous dire en toute honnêteté ma recherche réelle. Je ne suis pas fermé au port d’une cage de chasteté, mais cette idée ne m’excite pas. Vous savez tout de ce qui me fait vibrer et de mes rêves.

Je vous prie de croire, malgré ces confidences assez coquines, à mon plus grand respect.

Max

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Ceci est la copie d’un message privé que Max a adressé à Anne83 sur fessestivites après quelques soirées à tchater sur divers sujets, y compris l’actualité.

Ce que Anne a apprécié chez cet homme, c’est qu’il ne la branche pas sauvagement en l’appelant Maîtresse, en lui disant je serai à vos pieds, je veux être votre esclave et des « vous me ferez ça et ça .... » Au contraire, il s’est intéressé à elle, ils ont réellement fait connaissance et eu de vraies discussions désintéressées.

A 38 ans, Anne est déjà bien « abîmée » par la vie. A cause d’un prédateur de la route, elle a perdu son mari dans un accident de voiture et doit marcher avec une canne. Avant cet accident, elle pratiquait le BDSM avec son mari. Ils switchaient de temps en temps et ce qu’elle appréciait, c’était de féminiser son mari et de jouer la lesbienne sadique. Il lui rendait bien ses « jeux méchants » quand de temps en temps Anne lui laissait la main. Plus d’une fois, ses fesses ont eu les marques de cuisantes fessées. C’était le bon temps, le bonheur, c’était avant.

Anne souffre un peu de solitude, en invalidité depuis quatre ans, elle n’a jamais songé à refaire sa vie. Cela ne lui semble pas possible, son mari qui était une perle d’Amour lui manque trop. Pour elle ce serait le tromper, tromper sa mémoire. Parallèlement à ce deuil, le BDSM lui manque un peu. C’est pour cette raison qu’elle a recréé un compte sur fessestivites. Lire des histoires érotiques et discuter par internet ce n’est pas tromper.

Pour ne pas être trop ennuyée par les hommes, elle a créé un profil couple et a annoncé n’être sur le site que pour discuter. Depuis qu’elle discute avec Max, l’idée de rencontrer quelqu’un et de le dominer un peu pour lui faire plaisir la titille. Elle décide donc de lui envoyer un message.

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Chez Max,

Merci de ta réponse claire et franche. A mon tour, je vais faire de même sur l’objet de ma recherche, si c’en est une.

Le BDSM et les jeux de féminisation me manquent un peu. Tu connais mon histoire de vie, et je n’arrive pas à savoir si j’ai vraiment envie de faire une rencontre réelle. J’ai donc un deal à te proposer. Ce deal pourrait te permettre de vivre un peu tes fantasmes et moi de faire un point sur moi, mes envies, mon deuil de la vie. De la vie uniquement, car je n’ai pas envie de fonder un foyer ou d’avoir une relation sexuelle.

Si tu l’acceptes, je te propose de venir chez moi avec des tenues que tu aimes. Je t’aiderai à te féminiser, je te ferai faire du ménage et des choses dans ma villa.

Si je craque et fonds en larmes, il faudra alors que tu quittes les lieux discrètement et surtout, ne pas m’en vouloir.

Tu n’es pas un yoyo, je n’ai pas envie de te faire de mal ni de te mentir, mais ne peux hélas, pas savoir comment je vais vivre cette première expérience de retour à la vie.

Je te prie de croire également à mon plus grand respect. Tu connais maintenant les règles du jeu de cette rencontre que je te propose. Par avance, sache que si cela ne se passait pas bien à cause de moi, j’en serai réellement désolée. Merci d’avance si tu acceptes ce deal particulier.

Anne

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Max interprète ce message comme un cri du coeur allant bien au-delà d’une rencontre fétichiste. Il lui répond qu’il accepte les règles du deal et promet de ne pas lui en vouloir si elle vivait mal cette rencontre. Dans l’éventualité d’une souffrance intérieure, il partirait discrètement sans rien dire et serait surtout désolé pour elle. Il rajoute en conclusion : « On ne frappe pas un homme à terre, encore moins une femme ».

Le week-end suivant, Max se rend chez Anne le samedi matin à dix heures. Malgré l’excitation et un peu d’appréhension, il a à coeur de tout faire pour que cette première rencontre apaise un peu son chagrin. C’est même une impérieuse mission qu’il s’est auto confiée, que d’apporter un rayon de soleil dans sa vie de veuve.

  • Bonjour madame, c’est la nouvelle femme de ménage ! Dit Max à l’interphone pour essayer d’entrer directement dans le vif du sujet de cette rencontre.

Le clic du portail de cette magnifique villa le fait sursauter tant il est tendu. Entre donc avec sa valise contenant ses petites tenues secrètes. Une magnifique femme, appuyée sur une canne, l’attend sur la terrasse. Elle lui serre la main et le fait entrer.

  • Merci madame, où puis-je me changer et poser mes affaires afin de ne pas vous importuner ?

  • Là bas, au fond de ce couloir il y a la laverie. Je vous ai mis un miroir pour que vous puissiez vous faire belle. Répond Anne en baissant presque les yeux.

Max tourne immédiatement les talons pour se rendre dans la pièce indiquée. Il a vu un trouble dans les yeux de cette sublime femme blessée. Il se change rapidement et enfile une robe de bonne, des bas et de petits escarpins avant de mettre sa perruque. Il ressort de cette pièce avec les balais, une serpillière, un seau contenant divers produit jetés à la hâte.

  • Oh là ! Dit Anne en le voyant arriver. Si vous me semblez adorable Cher Max, pour votre féminisation, vous êtes une catastrophe ! Bon, on va avoir un peu de travail préparatoire au ménage, venez avec moi qu’on arrange ça.

Le pauvre Max est soudain très gêné. Il la suit dans le salon avec ses balais et son seau.

  • Posez tout ça et allez vous asseoir à la table, je vais chercher de quoi vous faire une beauté !

Quelques minutes plus tard, Anne revient les bras chargés de produits de beauté. Elle lui retire sa perruque puis entreprend de le maquiller. Le coeur de Max bat la chamade. Pendant qu’elle le maquille, il a tout le loisir de regarder son charment visage et ses yeux d’un bleu profond soulignés à merveille par le blond de ses longs cheveux, semblant aussi doux que de la soie.

  • Bon, il faudra apprendre à vous soigner un peu jeune fille, je vous remets votre perruque pour que vous alliez voir à quoi vous ressemblez à présent. Après, vous passerez le balai et la serpillière dans tout le rez-de-chaussée de la maison. Et ne traîner pas ou vous entendrez siffler ma cravache.

Max se lève pour aller se regarder dans le miroir. Son image le surprend, le maquillage a réellement transformé son visage. Un peu comme une magicienne, Anne est parvenue en quelques minutes à faire émerger la troublante féminité qui est en lui. Après l’avoir remerciée, il se met au ménage en étant bien plus méticuleux que si c’était pour lui. Il est si concentré qu’il ne l’entend pas arriver. Elle le trouve à quatre pattes en train de frotter le sol aux pieds de la cuisinière pour passer à la main là où le balai ne peut passer.

  • Bien....., je vois que vous êtes méticuleuse, cela me change un peu des autres femmes de ménage qui promènent plus la serpillière qu’elles ne s’en servent pour frotter. Continuez comme ça et je vous garderai peut-être à mon service. Indique Anne en tournant les talons.

Heureux comme un prince, Max se met à chantonner en même temps qu’il poursuit son ménage. Allongée dans son canapé avec un livre à la main, Anne l’observe plus qu’elle ne lit. Voir le bonheur de ce soumis transformé en « femme de ménage » lui plait bien. L’envie de jouer un peu et de le martyriser lui vient.

  • Je vois que vous faites un charmant ménage à quatre, le balai, le seau, la serpillière, et vous Conchita ! Le problème est que vous avez oublié le dessous du petit meuble de l’entrée. Je me dois donc de sévir et de vous rappeler à l’ordre.

Max, réellement désolé, se confond en excuses. ne connaissant du BDSM que ce qu’il a lu sur internet, il ne perçoit pas que Anne cherchait un prétexte et qu’elle n’a rien à faire du dessous du meuble oublié.

  • Venez ici et penchez-vous sur cette table que j’explique à votre fessier qu’il faut faire attention quand on travaille !

Guidé d’une main ferme, Max se penche donc sur la table. Anne soulève le bas de la robe pour exposer les fesses à la punition méritée.

  • Vous avez des goûts douteux et termes de lingerie. Il faudra vous trouver une jolie culotte de soubrette à l’avenir, de façon à ce que mes yeux ne souffrent pas si je dois vous punir. Indique Anne en donnant un coup de cravache sur les fesses de Max.

Max bondit même si le coup donné n’était pas appuyé.

  • Vous chantiez en faisant le ménage, et bien dansez maintenant ! Lui dit Anne en commençant à le fesser de bon coeur avec la cravache.

La petite soubrette n’avait jamais été fessée jusqu’à ce jour, elle s’agite à chaque coup comme une petite chochotte et essaye même de mettre la main pour se protéger.

  • Faut-il que je vous menotte pour vous punir ou allez-vous avoir assez de dignité pour accepter cette punition ?

Le pauvre Max s’excuse platement puis serre les dents et ses poings pour résister à cette douleur qu’il découvre. Il y a si longtemps qu’elle n’avait pas fessé que Anne s’amuse réellement. Le voir se tortiller l’excite presque. L’envie de baisser cette horrible culotte lui vient, d’un geste rapide elle la tire vers le bas pour continuer de tanner le fessier de sa soubrette. Le dit fessier prend rapidement une couleur pourpre l’incitant à se modérer. Sans même lui demander de remonter sa culotte, elle saisit l’oreille de Max pour le conduire au coin de la pièce.

Marcher avec sa culotte tombée à ses pieds lui donne un air ridicule qu’elle adore. Arrivé au coin, elle lui ordonne de mettre les mains sur la tête et de ne pas bouger. A la suite de quoi, elle remonte la robe qu’elle bloque pour que le fessier de sa soubrette soit bien exposé. Cette situation humiliante après la douleur de la fessée, commence à exciter Max. Il a chaud et l’impression que des fourmis dévorent ses fesses.

Abandonné là avec comme ordre de ne pas bouger, la jeune soubrette se pose de nombreuses questions. Que va t’il m’arriver ? Que dois-je faire ? Dois-je encore m’excuser ?

  • Tenez petite nunuche, ceci est un cadeau. C’est une de mes culottes, reconnaissez qu’elle a un autre style que la votre ! Lui dit Anne en lui tendant un joli boxer en dentelle.

  • Oh merci madame, vous avez raison elle est bien plus belle que la mienne.

  • Enfilez-là de suite que l’on voit à quoi vous ressemblez avec ça ?

Ultra gêné de devoir l’enfiler devant elle, Max se tourne par pudeur, ce qui amuse énormément Anne. Il peine à loger son sexe dans cette culotte.

  • Allez, relevez votre robe que je vois à quoi vous ressemblez ! Oh mon dieu, franchement, vous ne vous faites pas le maillot ! Quelle horreur. La dentelle blanche ne s’accorde pas avec les poils noirs, si vous acceptez de revenir, il faudra au minimum raser cette touffe disgracieuse. Bon, ça suffit, j’en ai assez vu. Il est l’heure de déjeuner, voyons si vous savez assurer le service de table aussi bien que vous faites le ménage.

Arrivés à la cuisine, elle lui indique où se trouve le nécessaire pour mettre la table qu’il doit dresser pour une personne dans la salle à manger. Pendant qu’il s’affaire à préparer la table, elle sort de son réfrigérateur un rôti froid puis une salade et des oeufs mayonnaise préparés à l’avance. Max prend donc ces plats et les apporte à la salle à manger.

  • Madame, puis-je aller chercher quelque chose que j’ai dans ma valise ?

  • Oui mais ne tardez pas !

Deux minutes plus tard, Max arrive avec un petit bouquet de fleurs qu’il avait caché en arrivant par peur qu’elle puisse penser qu’il cherchait à la séduire.

  • Ceci n’est pas un cadeau madame, c’est juste pour donner un peu de couleur et de gaîté à votre table, si vous l’acceptez, bien sûr !

Émue, Anne ne sait que répondre. Elle fait « oui » de la tête puis se lève pour lui donner un vase. Rassurée sur le geste et en appréciant beaucoup la formulation usitée pour lui offrir des fleurs, elle lui fait une bise amicale sur la joue puis lui ordonne de faire le service. Il s’exécute immédiatement en lui demandant ce qu’elle désire boire. Madame répond qu’elle ne prendra que de l’eau, la petite soubrette court donc à la cuisine pour aller chercher une carafe. Après avoir servi Anne, il se met au garde-à-vous derrière sa chaise et attend les directives.

Max est ensuite prié de débarrasser et d’aller se restaurer à son tour dans la cuisine. Pendant ce temps, Anne se demande si elle doit poursuivre ou pas cette rencontre. Certes elle s’amuse bien, certes le plaisir semble partagé et en plus, la soubrette est vraiment aussi respectueuse qu’elle l’avait pressentie. Pour sortir des idées noires lui revenant à l’esprit, elle se rend au bout d’un moment à la cuisine voir ce qu’il fait.

  • Quoi ? Vous mettez la vaisselle au lave-vaisselle ? Mais cela va pas la tête ! Quand vous serez partie, je devrai peut-être la ranger c’est ça ? En plus, si je m’encombre d’une soubrette, ce n’est pas pour user mon lave-vaisselle ! Ça mérite une fessée ça !

Anne tire une chaise, s’assoie et tire Max par la main pour le coucher sur ses genoux. La robe est prestement remontée et la jolie culotte baissée. En réalité, elle avait une irrépressible envie de claquer son charmant petit cul, cette fois, à main nue. Traité comme une gamine, Max prend donc sa deuxième fessée de la journée. L’épiderme étant encore sensible après la cravache, les claques données sont douloureuses. Au bout d’un moment, la douleur se transforme en une drôle de sensation qu’il ne connaissait pas encore. Cela fait mal mais en même temps, cela fait du bien et chaud à la tête.

De son côté, Anne s’envole et se perd dans cette fessée devenant fusionnelle. Des images de son mari passent devant ses yeux et entraînent aussitôt une crise affective. Elle s’arrête immédiatement et repousse Max qui, en voyant son visage défait et ruisselant de larmes, se redresse et quitte la cuisine sur le champ.

Ne sachant que faire, partir discrètement, rester ou aller lui parler, Max entreprend de faire les vitres avec une boule sur l’estomac. Ne parvenant pas à se reprendre, elle vient le voir et, pour cause de paroles bloquées dans sa gorge, lui fait juste signe de partir.

  • J’ai fini mon service, madame, je dois partir. Sachez que je vous remercie infiniment et que je ne vous en veux absolument pas ! Ma messagerie vous est ouverte si besoin est. Oh je suis déjà en retard, excusez-moi de vous quitter aussi vite ! Indique Max en faisant en sorte de quitter les lieux au plus vite et le plus discrètement possible.

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La semaine suivante, Anne adresse un message à Max en lui demandant son adresse pour lui faire livrer quelque chose. Dans son message elle indique de ne pas lui poser de question et de lui faire simplement confiance. Il lui répond sans tarder et lui assure qu’il a une totale confiance en elle. Dans sa réponse, il évite de rajouter « je suis à votre disposition » pour qu’elle ne puisse penser qu’il cherche à revenir.

Quatre jours plus tard, il reçoit un message lui indiquant qu’un colis à son nom l’attend dans un Mondial relay à deux pas de chez lui. Il ne doit pas ouvrir le colis et venir avec s’il accepte de faire le ménage chez elle le week-end suivant. S’il refuse de revenir faire son ménage, il peut garder le contenu du colis en guise de petit cadeau

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Max répond qu’il sera disponible le week-end suivant et qu’il sera inutile de revenir sur le fait qu’il ait du écourter son service.

DEUX MOIS PLUS TARD

La confiance s’est installée entre eux. La journée « ménage » du samedi est devenue une habitude. Anne lui confie à présent la lessive de ses petits dessous qu’il doit laver à la main.

Max n’a jamais eu un geste déplacé, hormis un bien involontaire. Même féminisé, un homme reste un homme. Après une fessée, Anne l’a envoyé au coin avec la jupe relevée et la culotte aux chevilles pour jouer de l’humiliation de cette posture. Alors qu’elle appréciait le résultat de sa fessée à la canne anglaise, en s’approchant pour le gronder et l’humilier encore, elle a constaté avec effroi la verge tendue de sa soubrette. L’érection n’était pas générée par une envie de sexe mais par les émotions liées à l’humiliation et surtout, l’effet pervers de la fessée à la canne.

Anne en fut très perturbée, cela fit resurgir en elle le traumatisme en lui rappelant les jeux qu’elle faisait avec son mari après les punitions. Elle se revit passer la main entre ses jambes, suspendre des poids à la verge de son mari en lui disant que la punition serait doublée si son beau sexe venait à plier. Elle s’est revue aussi lutiner son mari lui aussi féminisé mais attaché en croix. En la voyant fondre en larme, Max fut très perturbé et, sans réfléchir lui dit : Mais qu’y a t’il Madame » ?

Anne ne put répondre, elle désigna juste du doigt « l’objet » ayant déclenché son chagrin si soudain. Max fut congédié sur le champ. Avec l’élégance qui est la sienne, il ne discuta pas et quitta les lieux en s’excusant.

La semaine suivante, il lui adresse une message demandant s’il devait « travailler » le samedi. Il précisa que l’objet du délit serait muselé par une cage de chasteté en métal. Elle décida de poursuivre plus par « humanité » qu’envie personnelle car Max ne l’avait jamais déçue.

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Le samedi, Max se présente à l’heure habituelle au portail de la magnifique villa. Il se gare derrière, entre par l’entrée de service pour aller se mettre en tenue. Malgré une certaine tension, il entreprend le ménage et, discrètement, passe déposer une petite boite sur la table du salon. A l’intérieur de cette boite mystère, Anne y découvre des clés. Un sourire s’affiche enfin sur son visage, sa soubrette a vraiment de la suite dans les idées et reste fidèle à ses engagements. Si elle sait ce qu’est une cage de chasteté pour en avoir vu sur Fessestivites, elle brûle d’impatience d’en voir une en vrai.

  • Faut-il que l’on envisage une formation pour que vous appreniez à faire les vitres convenablement ? A moins que cela ne soit de la négligence de votre part ! Quoi qu’il en soit, les traces sur la grande fenêtre de mon salon méritent une punition. Allez de ce pas chercher la canne, je vais encore être obligée de sévir.

Comprenant que Madame a envie de le martyriser, Max s’exécute aussitôt. Une minute plus tard, penché en avant sur la table de la salle à manger, il se fait déculotter et fesser. Selon la tradition, il est mis au coin avec les mains sur la tête avec la robe relevée pour que ses fesses soient exposées. Ne parvenant pas vraiment à voir la cage de chasteté, Anne prend une pièce dans son porte-monnaie pour aller la placer entre le mur et le front de la soubrette.

  • Vous resterez dix minutes dans cette position ne vous avisez pas à faire tomber la pièce où je serai dans l’obligation de vous fesser plus durement !

Le devant de la robe masquant encore la cage de chasteté, elle décide de se baisser entre le mur et sa soubrette pour la faire remonter. La vue de la cage de chasteté Castrat la surprend. La cage est ultra courte et si il n’y avait pas deux testicules, le tube confinant la verge pourrait bien lui donner l’image d’un clitoris généreux. La punition levée, la pièce de monnaie retrouva sa place et Max put terminer son ménage. Congédié comme d’habitude, il quitte les lieux après s’être changé mais en gardant ses sous-vêtements féminins.

Ravi que Madame n’ait pas décidé d’arrêter leur relation, la tête dans les nuages il prit le chemin du retour. Après avoir fait quelques kilomètres, il prend conscience de l’oubli qui va changer sa vie. « Et merde les clés de la cage de chasteté » s’écrie Max. Il fait demi-tour pour aller les chercher. En arrivant devant la villa, il aperçoit qu’une voiture se gare dans le jardin. Un couple de personnes âgées en descend avec difficulté. Ne pouvant sonner pour récupérer ses clés au risque de générer des questions, il repart en se traitant de tous les noms d’oiseau lui passant par la tête.

En arrivant chez lui, il allume son ordinateur pour envoyer un message à Anne et lui demander s’il pourra passer récupérer les clés de sa cage de chasteté. Après s’être connecté sur Fessestivites, il constate qu’il a un message.

Cher Max,

Tu ne peux pas savoir à quel point tu m’as fait plaisir aujourd’hui. Te mettre sous cage de chasteté et m’offrir les clés, est un présent fabuleux. Je te savais investi dans notre relation mais je sous-estimais l’intensité de ton engagement.

Cette asexualité que tu me démontres en m’offrant ces clés est le plus beau présent que l’on m’ai fait depuis longtemps. Pour te remercier, je m’engage à prendre en charge le contrôle de ta toilette intime hebdomadaire car je suppose, que les douches journalières ne seront pas suffisantes. A partir de maintenant, avant de te changer tu iras dans ma salle de bain.

Tu y trouveras les clés et te doucheras en laissant la porte ouverte. A la suite de quoi, tu remettras ta cage de chasteté et te mettras en tenue dans la salle de bain. Les clés devront rester sur la tablette du lavabo pour que je puisse les récupérer.

Ne t’avises pas à céder à la tentation, tu comprends bien que je ne pourrai jamais tolérer qu’un homme se masturbe sous mon toit. Ce serait la fin de notre relation que j’apprécie chaque jour un peu plus au point que, j’envisage de te faire passer deux fois par semaine au lieu d’une.

Anne.

EPILOGUE

Max n’a pas osé détromper Anne. Elle ne prit pas en charge que la gestion des clés, elle a entrepris de poursuivre la féminisation de sa soubrette mâle en passant du temps sur sa coiffure, le choix de ses vêtements et sous-vêtements.

Les premières semaines furent très difficiles pour lui. Son self-service quotidien devint un souvenir. Paradoxalement, il commença à se sentir de plus en plus femme intérieurement au point qu’il commença à regarder des vidéos de travestis se faisant prendre par des hommes puis des vidéos pornographiques plus conventionnelles. Dans sa tête, il n’est plus l’homme qui pénètre, mais la femme qui est pénétrée.

Il commence à penser en femme, agir comme une femme, choisir des parfums de femme, marcher comme une femme. Pour Noël, Anne a souhaité le libérer une nuit en acceptant qu’il se masturbe sous son toit puisqu’il dormait dans la chambre d’amis.

Max a refusé.

Anne l’a embrassé sur la bouche.

Depuis ce fameux Noël, il est envisagé qu’il vienne habiter chez elle.

Si aujourd’hui vous demandez à Max qu’elle est sa sexualité, il vous répondra « Lesbienne ».

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

Humm belle histoires j aimerais être à sa place
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